• L’akathisie est un effet secondaire des médicaments antipsychotiques qui se caractérise par une agitation intérieure. Les patients souffrant d’akathisie ne sont pas en mesure de rester en place, souvent il se  bascule en position debout, c’est aussi l’agitation de l’enfant, d’incontrolable mouvement des jambes et du rythme. Dans les cas bénins, les patients se sentent mai avec un léger sentiment d’anxiété et d’agitation, toutefois, dans les cas les plus graves les patients sont totalement incapable de rester immobile et souffrent d’anxiété grave et un sentiment de malheur. Dans certains cas, les patients souffrant d’akathisie agissent avec violence,  font des choses qui  nuisent à eux-mêmes ou d’autres personnes.

    L’akathisie est souvent accompagné par l’insomnie, l’anxiété, la panique et l’agitation. Dans les cas graves, le patient  recent le malheur peut être si fort qu’il a recours à des tentatives de suicide. Parmi les symptômes d’akathisie il y a l’anxiété, de la tension, des impatiences, l’irritabilité, l’agitation intérieure, et l’inconfort physique. Les patients souffrant d’akathisie peuvent voir la mort comme un soulagement bienvenu à ce qu’ils connaissent.

    L’akathisie aiguë, qui a été liée à des médicaments antipsychotiques, peut commencer aussi peu temps que quelques heures après le début de la prise du médicament qui la provoque. L’akathisie tardive commence plus lentement, jusqu’à trois ou quatre mois après le début de la prise des médicaments, et peut durer des années.  Malheureusement, l’akathisie peut être difficile à diagnostiquer et de nombreux patients reçoivent des doses plus élevées de médicaments antipsychotiques pour traiter les symptômes. Les patients souffrant d’akathisie sont également notées plus "non-conformie" que les patients sans akathisie, ce qui signifie qu’ils sont plus susceptibles d’interrompre ou d’arrêter les médicaments et demander des soins médicaux.

    Les patients qui ont développé de l’akathisie disent que c’est une terrible épreuve à passer. Ils notent la frustration qu’ils ressentent d’avoir la communauté médicale soit leur misdiagnose akathisie ou tout simplement pas à croire ce qu’ils ont et ils disent que l’akathisie elle-même est souvent plus difficile à supporter que les symptômes pour lesquels leur médicament avait été initialement prescrit.

    http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.lawyersandsettlements.com%2Ffeatures%2Fzyprexa-akathisia-suicide.htmlhttp%3A%2F%2F&sl=en&tl=fr&hl=fr&ie=UTF-8


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  • J'ai payé un professeur suédois pour augmenter les chances d'accréditation du Prozac en Suède.
    John Virapen
     
    De nombreux médicaments sont mis sur le marché, sans que souci soit fait des effets secondaires non suffisemment contrôlés et qui causent des dizaines de milliers de morts chaque année à travers le monde.
     
    De grands universitaires ont consacré de nombreuses études aux perversions cyniques et scandaleuses des grandes firmes pharmaceutiques mondiales, qui se retirent de plus en plus de la recherche sur les grands fléaux (cancers, Alzheimer, maladies neurologiques, psychiatriques, virales et parasitaires du tiers-monde), au profit quasi exclusif de la création d’immenses marchés artificiels à rentabilité immédiate, leur assurant des bénéfices exorbitants, trois à quatre fois supérieurs à ceux de toutes les autres industries, sans aucun avantage pour la santé et les malades.

    Elles y parviennent de deux façons : d’abord, par la promotion de molécules prétendues nouvelles, quoique peu novatrices, simples copies des médicaments plus anciens et dont certaines ont déjà provoqué des dizaines et parfois des centaines de milliers de morts ; ensuite, en suscitant l’anxiété, donc la demande de la population et des parents, inventant et promouvant par un marketing forcené dans tous les médias des maladies qui n’existent pas (pré-hypertension, cholestérol, dépression, hyperactivité de l’enfant, dysphorie menstruelle, etc.) et pour lesquelles elles proposent des pseudo-médicaments, qui ont d’autant moins de chance d’être efficaces qu’ils n’ont rien à traiter, mais qui sont loin d’être sans danger.

    Jon Virapen, venu de la Guyane britannique, de formation médicale et ancienne pop-star, devenu, dans les années 1980, PDG pour la Suède, puis l’Amérique Centrale, de la grande firme américaine Eli Lilly, raconte de l’intérieur. Son livre n’est pas une étude, mais un témoignage vécu, direct et douloureux, habité de remords, de culpabilité et de révolte contre une politique qu’à travers les drames de l’Opren, du Prozac, du Vioxx et du Strattera, il a mis des années à comprendre et à rejeter. C’est donc pièces en main qu’il décrit le fonctionnement interne de ces entreprises, la falsification des études cliniques des médicaments, le secret et la dissimulation des accidents thérapeutiques, systématiquement cachés aux agences de contrôle, la désinformation et la corruption organisées des médecins généralistes par les visiteurs médicaux des firmes et plus encore, celle des experts universitaires infiltrés dans les agences d’État et même celle des politiques.

    Ce livre désespéré et passionnant tente de préparer un avenir meilleur pour les générations futures, dont le jeune fils de l’auteurr que l’on trouvera au cœur de ce bouleversant témoignage. 
    John Virapen a été PDG d'Eli Lilly & compagnie, en Suède. Son livre a déjà été traduit dans une vingtaine de pays.


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  • LES MÉDICAMENTS D’ORDONNANCE SONT LA TROISIÈME CAUSE DE MORTALITÉ APRÈS LES MALADIES CARDIAQUES ET LES CANCERS.

    Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste... Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins... Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique... Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité... Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir. »


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